Mais pourquoi donc les gens ils cherchent inévitablement à venir s’entasser dans les villes, alors que la campagne est si jolie et que leur mode de vie va être complètement bouleversé ? Moi, j’ose à peine ici vous rappeler que je suis un nain de jardin, et qu’un jardin en ville, il est souvent public … Alors c’est sympa, dans un jardin public, on peut rencontrer du monde ! Mais un seul petit souci pour moi, on peut me voler (il paraît même qu’il y a des spécialistes, et même une association, qui doit vouloir du mal à la nôtre, celle pour la paix et le dialogue interreligieux. Alors, moi, j’en prends mon parti parce que maintenant je sais me défendre, car je m’entraîne dorénavant : à moi les haltères, je suis Amédée-l’incorruptible, et même que grâce à moi, Ben, on ne va pas me le voler non plus ! mais allez, il ne faut pas généraliser, il y a des gens drôlement sympas ici (il n’y a que cela d’ailleurs), qui eux, ne cherchent qu’à nous aider. Et c’est bien le cas de notre jeune étudiant qui devait repartir vers son université et ses études, mais qui a pris le temps de s’intéresser à notre projet et nous a guidé dans cette ville tentaculaire : merci Ozan !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Ozan d' Ankara
Ozan, il s’assied à côté de moi dans le bus qui traverse la ville-capitale. Et tout de suite jaillit le « Where are you come from ? », inévitable entrée en matière ! Lui, il vient de l’autre bout du pays, de Canakkale, lieu mémorable de conflits entre les deux parties (d’un côté l’Allemagne et l’empire ottoman, de l’autre les alliés – donc ceux qui ont eu pour ancêtres les gaulois, vous voyez de qui je veux parler ? – Ces derniers ayant pris alors une vraie piquette, na !) au début de la première guerre mondiale, combat naval et terrestre de part et d’autre du Bosphore de Canakkale … Il fait ses études de journalisme, à l’université d’Eskişehir, à l’Ouest du pays (il songe même à Erasmus, pourquoi pas en Italie. Au moins, cela le fera voyager, voir du pays et de la foule), et vous-aussi, cela vous fait voyager, non ? On sent tout de suite qu’Ozan, il a le contact humain facile et l’envie de pratiquer l’anglais, normal pour un journaliste, me direz-vous ! … Son père est militaire à la retraite, lui me dit tout de go qu’il considère que la paix est le créneau-porteur. Alors comment voulez-vous que nous ne lions pas connaissance, dans ce fameux bus symbole du voyage … connaissance qui se prolonge ensuite ! :
"When I saw you at the bus station, I was amazed because generally, I don’t see tourists there ! I haven’t talk English for a four months. It is good for me. Nice to meet you and it’s honor to travel with you. Good luck ! One day, peace is come all over the world … thank you !" (Ozan)
(Quand je t’ai vu à la gare de bus, cela m’a amusé parce que généralement, je n’y vois pas de touristes ! Je n’avais pas parlé anglais depuis quatre mois. C’est une bonne chose pour moi aujourd’hui. C’est super de t’avoir rencontré et c’est un honneur de voyager avec toi. Bonne chance ! Un jour, la paix viendra tout sur le monde entier … merci !)
Ozan, il s’assied à côté de moi dans le bus qui traverse la ville-capitale. Et tout de suite jaillit le « Where are you come from ? », inévitable entrée en matière ! Lui, il vient de l’autre bout du pays, de Canakkale, lieu mémorable de conflits entre les deux parties (d’un côté l’Allemagne et l’empire ottoman, de l’autre les alliés – donc ceux qui ont eu pour ancêtres les gaulois, vous voyez de qui je veux parler ? – Ces derniers ayant pris alors une vraie piquette, na !) au début de la première guerre mondiale, combat naval et terrestre de part et d’autre du Bosphore de Canakkale … Il fait ses études de journalisme, à l’université d’Eskişehir, à l’Ouest du pays (il songe même à Erasmus, pourquoi pas en Italie. Au moins, cela le fera voyager, voir du pays et de la foule), et vous-aussi, cela vous fait voyager, non ? On sent tout de suite qu’Ozan, il a le contact humain facile et l’envie de pratiquer l’anglais, normal pour un journaliste, me direz-vous ! … Son père est militaire à la retraite, lui me dit tout de go qu’il considère que la paix est le créneau-porteur. Alors comment voulez-vous que nous ne lions pas connaissance, dans ce fameux bus symbole du voyage … connaissance qui se prolonge ensuite ! :
"When I saw you at the bus station, I was amazed because generally, I don’t see tourists there ! I haven’t talk English for a four months. It is good for me. Nice to meet you and it’s honor to travel with you. Good luck ! One day, peace is come all over the world … thank you !" (Ozan)
(Quand je t’ai vu à la gare de bus, cela m’a amusé parce que généralement, je n’y vois pas de touristes ! Je n’avais pas parlé anglais depuis quatre mois. C’est une bonne chose pour moi aujourd’hui. C’est super de t’avoir rencontré et c’est un honneur de voyager avec toi. Bonne chance ! Un jour, la paix viendra tout sur le monde entier … merci !)
Just saw your happy blog and nice pictures from turkey!
RépondreSupprimerSome made me really laugh!
Good luck Benoit!
Call me anytime in for help or anything!
(Je viens juste de consulter ton joyeux blog et les belles photos de Turquie ! crtaines me font réellement rire ! bonne chance Benoît) et appelle-moi pour toute aide nécessaire !)
Sami ARAS, rencontré à Ankara