Pensée Spirituelle
"Choisissez l’idéal le plus élevé et donnez votre vie pour cela"
(Swami VIVEKANANDA)
(Swami VIVEKANANDA)
Péricope Biblique
"Heureux celui que sa conscience ne condamne pas et qui n’a pas renoncé à son idéal ! "
(Si 14, 2)
L’idéal, aujourd’hui, il est tout simple : Arriver à temps à Milan pour prendre le moyen de communication le plus élevé : l’avion, pour rejoindre le temps d’un très court Week-End la Normandie qui m’a vu le jour (vous saurez bientôt pourquoi) ! Alors, départ rapide, pas trop de conversation avec les gens de l’hôtel, le curé ne pourra être remercié que par courrier, il est parti à l’ordination … Comme d’hab, des bottes de sept lieues sont nécessaires sous le soleil voilé, et comme d’hab, les entrées de ville sont très moches, Milan au moins aussi concernée que d’autres villes. Bon, on trouve facilement la gare centrale, chef d’œuvre de pièce montée architecturale, massive et dégoulinante de l’avant-guerre : le sac à dos à la consigne, à nous deux, Milano : le Duomo, le Castello, les rues piétonnes, les expos de sculptures et de photos … Tiens, tiens, une expo de photos d’Israël dans la rue piétonne bien fréquentée. Y’a même la photo du mur des lamentations, on s’y croirait déjà (mais on y est « presque » déjà !, espèces de rabat-joie que vous êtes tous !). Le départ de la navette pour l’aéroport de Bergame est tout proche, une heure de trajet, voilà l’aérogare, bon, il n’y a plus qu’à attendre le départ … Seulement voilà, on ne partira pas ce soir ! car une seule file d’attente pour deux embarquements dans deux avions à deux heures différentes, sans qui plus est une quelconque annonce de la fin de l’embarquement, cela fait que, comme d’autres … je reste sur le carreau. On s’en aperçoit très vite mais c’est trop tard, qu’elle dit mademoiselle Ryanair ! Allez, on positive : demain matin à 6h30, autre vol pour Beauvais ! de plus, il y a de la place, de quoi se plaint le Ben !!!) cette petite bagatelle me coûte (ainsi qu’à une bonne tripotée d’autres) quand même un billet à trois chiffres en euros (merci aux donateurs pour l’association !), et l’on ne peut qu’être charmés par la proposition de l’aérogare de nous autoriser à dormir (enfin à végéter) à même le sol, en nous déplaçant à la vitesse de gastéropodes qui risquent d’être avalés par les robots de nettoyage du sol !!! C’est un peu la cour des miracles, c’est comme sur la photo l’entassement et la chute de la race humaine, pas plus veinarde que la race équine ! allez, on vous laisse, il faut retourner du côté du comptoir d’embarquement de … Ryanair, car ils nettoient par ailleurs ! on ne renonce pas à notre idéal le plus élevé, et on ne pas va pas renoncer au projet, tout de même !!!
(Si 14, 2)
L’idéal, aujourd’hui, il est tout simple : Arriver à temps à Milan pour prendre le moyen de communication le plus élevé : l’avion, pour rejoindre le temps d’un très court Week-End la Normandie qui m’a vu le jour (vous saurez bientôt pourquoi) ! Alors, départ rapide, pas trop de conversation avec les gens de l’hôtel, le curé ne pourra être remercié que par courrier, il est parti à l’ordination … Comme d’hab, des bottes de sept lieues sont nécessaires sous le soleil voilé, et comme d’hab, les entrées de ville sont très moches, Milan au moins aussi concernée que d’autres villes. Bon, on trouve facilement la gare centrale, chef d’œuvre de pièce montée architecturale, massive et dégoulinante de l’avant-guerre : le sac à dos à la consigne, à nous deux, Milano : le Duomo, le Castello, les rues piétonnes, les expos de sculptures et de photos … Tiens, tiens, une expo de photos d’Israël dans la rue piétonne bien fréquentée. Y’a même la photo du mur des lamentations, on s’y croirait déjà (mais on y est « presque » déjà !, espèces de rabat-joie que vous êtes tous !). Le départ de la navette pour l’aéroport de Bergame est tout proche, une heure de trajet, voilà l’aérogare, bon, il n’y a plus qu’à attendre le départ … Seulement voilà, on ne partira pas ce soir ! car une seule file d’attente pour deux embarquements dans deux avions à deux heures différentes, sans qui plus est une quelconque annonce de la fin de l’embarquement, cela fait que, comme d’autres … je reste sur le carreau. On s’en aperçoit très vite mais c’est trop tard, qu’elle dit mademoiselle Ryanair ! Allez, on positive : demain matin à 6h30, autre vol pour Beauvais ! de plus, il y a de la place, de quoi se plaint le Ben !!!) cette petite bagatelle me coûte (ainsi qu’à une bonne tripotée d’autres) quand même un billet à trois chiffres en euros (merci aux donateurs pour l’association !), et l’on ne peut qu’être charmés par la proposition de l’aérogare de nous autoriser à dormir (enfin à végéter) à même le sol, en nous déplaçant à la vitesse de gastéropodes qui risquent d’être avalés par les robots de nettoyage du sol !!! C’est un peu la cour des miracles, c’est comme sur la photo l’entassement et la chute de la race humaine, pas plus veinarde que la race équine ! allez, on vous laisse, il faut retourner du côté du comptoir d’embarquement de … Ryanair, car ils nettoient par ailleurs ! on ne renonce pas à notre idéal le plus élevé, et on ne pas va pas renoncer au projet, tout de même !!!