Pensée Spirituelle
"Dieu ne demande rien d’extraordinaire aux hommes. Seulement d’avoir confiance en cette petite part d’eux-mêmes, qui est Lui. Seulement de prendre un peu de hauteur. Après, il se charge du reste."
(Jean ANOUILH)
Péricope Coranique
"Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Et ne foule pas la terre avec orgueil. Tu ne sauras jamais fendre la terre et tu ne pourras jamais atteindre la hauteur des montagnes !"
(Sourate 17 [Le Voyage nocturne], Verset 37)
(Jean ANOUILH)
Péricope Coranique
"Au nom de Dieu, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux. Et ne foule pas la terre avec orgueil. Tu ne sauras jamais fendre la terre et tu ne pourras jamais atteindre la hauteur des montagnes !"
(Sourate 17 [Le Voyage nocturne], Verset 37)
Vous connaissez pas la derni’air, sur t’air, toute est une aff’air de hauteur : t’as pas l’air ? quel drôle d’air tu prends ? t’aurais pas la tête en l’air ? C’est pas le moment de prendre tes grands airs ! Ben oui les copines et les copains de la t’air enti’air. Aujourd’hui, faut me laisser tranquille, je ne suis pas valétudin’air mais c’est ma journée de congés ! La derni’air n’était pas si vieille que cela, à Ankara, mais là, il y a tellement de choses à voir, à parcourir et à f’air que déjà au lever du soleil je pointe mon nez à l’air, à l’extérieur de la cheminée de fées, je prends un vrai bol d’air et je lève ma tête en l’air, et je vois de mes yeux (qui ne sont ni v’air ni de v’air) … Des trucs quelque peu en forme de sph’air, remplis d’air, et qui font un drôle de bruit, dans l’air matinal. Eh oui, Göreme, c’est le paradis sur terre et dans l’air des … Montgolf’aires ! Au petit matin, ce ne sont pas moins de cinquante montgolfières (quand le plein de touristes qui veulent s’envoyer en l’air (oh !)) qui s’envolent au petit matin, quand l’air est idéal, et qui se dirigent au gré des vents et de l’air … C’est tout simplement merveilleux, et même si je choisis de ne pas le f’air (c’est ruineux, de l’ordre de 100 à 150 Euros l’heure de vol, des véritables tortionn’air du billet v’air les organisateurs), le spectacle depuis la terrasse de Laetitia et Yüksel est extraordin’air ! Ces espèces de machines qui s’élèvent lentement au bruit du déclenchement des tuy’air, qui rasent les réverb’air et les cheminées de fées et disparaissent derri’air les falaises pour réapparaître peu après en un ballet, ce n’est pas une histoire de sorci’air mais bien des habitantes des lieux, les fées, et réellement, c’est à tomber assis sur le derri’air !!! Allez, j’arrête, sinon je vais me f’air remarquer et me payer un zéro pointé à cette dictée épistol’air de M’air-imée. Voilà à quoi est consacrée la premi’air heure de la matinée … Suivront la visite de la propriété (je pourrais même dire le tour du propriéta’air), écl’air-ée par derri’air au soleil du matin, puis une ballade à pied de plus de quatre heures (oui, je sais, c’était une journée de repos, mais fallait vraiment la f’air !) vers la vallée rose, la vallée rouge, la vallée des pigeons … Que des petits sentiers à découvrir les vieilles églises et les monast’air (déjà séparés, lol !) des hommes et des femmes, le tout datant des premiers temps de notre air chrétienne ! Et puis bien sûr, une bonne pause aux terrasses des cafés (sympathiques mais pas autant que dans les petits villages, ici, le chaï n’arrive pas aussi vite !) de Göreme et z’yeuter l’artisanat local, pas si moche que cela … Mais comment voulez-vous encore une fois qu’un pérégrin se trimbale avec son tapis ou sa poterie préférée … Alors la seule solution, c’est la discussion avec les touristes et les autochtones, un passage à l’hôtel d’Ilknur où notre magicienne des bons conseils est encore en train de sévir auprès de ses locat’air préf’air-és, et me voilà reparti à cuver mon raki dans le jardin extraordin’air de Laetitia et Yülker, à échanger avec Tim, notre ge’air-maniste du moment … Et le coucher du soleil se profile, l’air se temp’air, il est temps de lever ensemble notre v’air avec nos hôtes, non pas à un annivers’air, mais tout simplement à notre amitié ! La morale de cette histoire, c’est que le pèlerin, s’il arpente à l’horizontale (ou presque, pas toujours !) les chemins, il doit aussi et surtout profiter du grand air en levant son nez en l’air et non en lisant son brévi’air et sans donner des grands airs avec les gens qu’il rencontre ! Et là, même s’il a un drôle d’air, il pourra démontrer que sur cette t’air, ce n’est pas la peine de monter sur un dromad’air pour prendre de la hauteur et pour montrer qu’on peut entrer dans une nouvelle ‘air, celle de la rencontre de ses p’air et de la paix, et toc ! Ca vous en bouche une mol’air, il fallait bien le f’air, comme au tennis j’ai lancé la balle de ce petit jeu de vocabul’air, et j’attends avec impatience … votre rev’air, grâce à vos comment’air !
Information spéciale :
Notre Ben a ENCORE posé un RTT sans en avoir demandé l'autorisation à la DRH.
Même si ce qu'il vit, c'est extraordin'air, il y a un formul'air à demander.
Un courrier pour absence irréguli'air va lui être envoyé. Non mais !!!!!!!
Signé : Bribri, la DRH
Mon Ben, il en n'a pas l'air, mais dans son comment'air,
il en a même oublié un annivers'air
Signé : Laulau, son p'ti' fr'air