Pensée Spirituelle
"Vierge sainte,
Au milieu de vos jours glorieux, n’oubliez pas les tristesses de la terre. Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la souffrance, qui luttent contre les difficultés et qui ne cessent de tremper leurs lèvres aux amertumes de la vie !
Ayez pitié de ceux qui s’aimaient et qui ont été séparés !
Ayez pitié de l’isolement du cœur !
Ayez pitié de la faiblesse de notre Foi !
Ayez pitié des objets de notre tendresse !
Ayez pitié de ceux qui prient, de ceux qui tremblent, de ceux qui pleurent !
Donnez à tous l’espérance et la paix
(abbé PERREYVE, donné par sœur Thérèse, Le Béage)
Au milieu de vos jours glorieux, n’oubliez pas les tristesses de la terre. Jetez un regard de bonté sur ceux qui sont dans la souffrance, qui luttent contre les difficultés et qui ne cessent de tremper leurs lèvres aux amertumes de la vie !
Ayez pitié de ceux qui s’aimaient et qui ont été séparés !
Ayez pitié de l’isolement du cœur !
Ayez pitié de la faiblesse de notre Foi !
Ayez pitié des objets de notre tendresse !
Ayez pitié de ceux qui prient, de ceux qui tremblent, de ceux qui pleurent !
Donnez à tous l’espérance et la paix
(abbé PERREYVE, donné par sœur Thérèse, Le Béage)
Péricope Biblique
"Oui, bienheureuse est celle qui a cru en l’accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur"
(Lc 1, 45)
"Oui, bienheureuse est celle qui a cru en l’accomplissement de ce qui lui a été dit de la part du Seigneur"
(Lc 1, 45)
Ce qu’il y a de bien avec un gîte du bon Samaritain, au moins pour un pèlerin, c’est que le matin, c’est dehors à 07h30 ! On a quand même le temps de prendre un bon petit déjeuner, préparé par qui, devinez ? Bien-sûr par Alvaro avec qui l’échange de bavette est de circonstance … on ne va pas l’oublier dans nos prières, comme on dit (et lui non plus parce que dans la journée, il va demander par mail une photo pour faire un article dans le journal local : les pérégrins seraient-ils une espèce rare ? en voie de disparition ? enfin, si cela peut faire avancer la possibilité d’accueil des pèlerins, on aura gagné la partie ! et ce d’autant plus que le reporter de RTL qui m’avait interviewé au départ de Bois-Guillaume le 7 Mai a récidive ce jour – il parait que dans les rédactions parisiennes ils me surnomment le « reporter-pèlerin de la paix, ça fait chic dans les chevilles, non ? –). Bon, rien à dire sur la marche d’aujourd’hui, quelques micro-gouttes mais pas de chaleur, grande route fréquentée, puis petite pour l’éviter tout aussi fréquentée, puis retour sur la grande route très fréquentée : Attention, il n’y a même pas de bande d’arrêt d’urgence … Ca y est, enfin des italiens qui conduisent comme des fous, la réputation n’est pas perdue !!! (lol)
Arrivée à Chiari, je laisse la parole à Amédée pour le process bien rodé (même s’il ne marche pas à tous les coups) de recherche de gîte, mais on devient bons ! la ville est pavoisée de rubans bleu ciel et blancs, le sacristain qui m’accompagne au gîte de l’oratoire me fait comprendre que ce n’est pas pour un – simple – mariage (ce qui serait logique vu les nombreuses décorations –plus ou moins heureuses, soyons tolérants ! – de mariages vues aujourd’hui), mais pour « la venue d’une des quatre statues portatives de la Vierge de Fatima », qui est arrivée par hélicoptère il y a une semaine et qui repart justement demain par le même moyen (il est même persuadé que mon périple est lié à cet évènement !). Chacun(e) en pensera qu’il / elle voudra, mais ici, c’est une vraie ferveur dans la ville, une foule extraordinaire en adoration toute la fin d’après-midi dans l’église et une grande ferveur à la messe … La ville est bien petite, retour au logement pour un dîner frugalo-pizza avec Boris, d’origine kosovienne et Lea, d’origine lituanienne, responsables du centre de l’Oratorio, géré en commun par la paroisse et la commune pour des activités pour les jeunes (la France ne devrait-elle pas en prendre leçon ?) et pour conclure, soirée karaoké sur la place des jeunes ! Allez, si la vie est un long fleuve tranquille, la pérégrination, elle, réserve maintes surprises, ne trouvez-vous pas ?
Arrivée à Chiari, je laisse la parole à Amédée pour le process bien rodé (même s’il ne marche pas à tous les coups) de recherche de gîte, mais on devient bons ! la ville est pavoisée de rubans bleu ciel et blancs, le sacristain qui m’accompagne au gîte de l’oratoire me fait comprendre que ce n’est pas pour un – simple – mariage (ce qui serait logique vu les nombreuses décorations –plus ou moins heureuses, soyons tolérants ! – de mariages vues aujourd’hui), mais pour « la venue d’une des quatre statues portatives de la Vierge de Fatima », qui est arrivée par hélicoptère il y a une semaine et qui repart justement demain par le même moyen (il est même persuadé que mon périple est lié à cet évènement !). Chacun(e) en pensera qu’il / elle voudra, mais ici, c’est une vraie ferveur dans la ville, une foule extraordinaire en adoration toute la fin d’après-midi dans l’église et une grande ferveur à la messe … La ville est bien petite, retour au logement pour un dîner frugalo-pizza avec Boris, d’origine kosovienne et Lea, d’origine lituanienne, responsables du centre de l’Oratorio, géré en commun par la paroisse et la commune pour des activités pour les jeunes (la France ne devrait-elle pas en prendre leçon ?) et pour conclure, soirée karaoké sur la place des jeunes ! Allez, si la vie est un long fleuve tranquille, la pérégrination, elle, réserve maintes surprises, ne trouvez-vous pas ?