Il y a tellement de monde, un nombre illimité, sur la promenade le long de la mer, des amoureux du Dimanche, des marins en manque de bateau qui vogue ou de compagne, des failles en promenade dominicale attendant le repas du soir, ou des voyageurs prêts à gagner l’autre rive, que je préfère fixer mes limites et prendre le frais sur la fenêtre de notre chambre … Y’a pas de musique, mais il y a des CDs qui bougent au vent, joli, non ? Allez, nous on a chaud en cette fin de soirée … Alors Ben, en rentrant, il m’a raconté sans limite les histoires d’Ali, hautes en couleur. Du coup, on a passé une super fin de soirée avant de dormir, car demain, il y a encore de la route. Allez, pour ton côté rigolo, merci Ali !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Ali de Tekirdag
Donc Ali, pas du tout le même genre que l’Ali d’avant-hier (vous vous souvenez, le fonctionnaire très strict dans ses limites qui attend l’évènement pour faire son rapport), notre Ali de ce soir, il a tout fait en illimité, me dit-il : Il a vécu, en Europe Occidentale, en Amérique – comme il dit – et il est revenu au pays, pas de chance pour lui, il n’a pas trop réussi en affaires. Alors il a eu la nostalgie du pays, et ici, il tient me dit-il une « petite affaire » (certainement limitée, mais de quoi s’agit-il ?) … Et comme pendant ce sacré Ramazan, à la limite ça ne rapporte rien, eh bien, il ne l’ouvre pas, son affaire (comme cela, on aura pas à aller la voir !). Il a eu de belles aventures, illimitées dans tous les sens du terme, comme il dit, avec des femmes et avec des amis, mais maintenant ... les seules aventures qu’il a, elles sont plutôt limitées : c’est avec ses vieux parents … Bon, il se pose lui-même ses limites, il a pas l’air de jeûner, pas plus que de respecter les cinq piliers de l’Islam. Pour lui c’est pas le plus important, c’est de se fixer (comme il dit, parce que ce mot, il vient de lui !), c’est :
"Il faut profiter à fond de la vie, on ne sait pas ce que demain nous réserve … Alors vous, profitez de votre voyage, moi, je suis bien ici ! Peut-être qu’un jour, j’irai en pèlerinage, mais pas comme cela ! Portez-vous bien … Et merci pour la soirée !" (Ali)
Donc Ali, pas du tout le même genre que l’Ali d’avant-hier (vous vous souvenez, le fonctionnaire très strict dans ses limites qui attend l’évènement pour faire son rapport), notre Ali de ce soir, il a tout fait en illimité, me dit-il : Il a vécu, en Europe Occidentale, en Amérique – comme il dit – et il est revenu au pays, pas de chance pour lui, il n’a pas trop réussi en affaires. Alors il a eu la nostalgie du pays, et ici, il tient me dit-il une « petite affaire » (certainement limitée, mais de quoi s’agit-il ?) … Et comme pendant ce sacré Ramazan, à la limite ça ne rapporte rien, eh bien, il ne l’ouvre pas, son affaire (comme cela, on aura pas à aller la voir !). Il a eu de belles aventures, illimitées dans tous les sens du terme, comme il dit, avec des femmes et avec des amis, mais maintenant ... les seules aventures qu’il a, elles sont plutôt limitées : c’est avec ses vieux parents … Bon, il se pose lui-même ses limites, il a pas l’air de jeûner, pas plus que de respecter les cinq piliers de l’Islam. Pour lui c’est pas le plus important, c’est de se fixer (comme il dit, parce que ce mot, il vient de lui !), c’est :
"Il faut profiter à fond de la vie, on ne sait pas ce que demain nous réserve … Alors vous, profitez de votre voyage, moi, je suis bien ici ! Peut-être qu’un jour, j’irai en pèlerinage, mais pas comme cela ! Portez-vous bien … Et merci pour la soirée !" (Ali)
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