Pensée Spirituelle
"L’écho de grandes et nobles vérités traverse l’âme à chaque instant. Si seulement nous voulions l’écouter en restant silencieux, nous entendrions bientôt notre propre éternité résonner dans ce silence qui, tout à coup, nous serait plus précieux que tout"
(Guy FINLEY)
Péricope Biblique
"Et toute la multitude se tut. Et ils écoutaient Barnabas et Paul qui racontaient quels miracles et quels prodiges Dieu avait faits par leur moyen parmi les nations"
(Ac 15, 12)
"L’écho de grandes et nobles vérités traverse l’âme à chaque instant. Si seulement nous voulions l’écouter en restant silencieux, nous entendrions bientôt notre propre éternité résonner dans ce silence qui, tout à coup, nous serait plus précieux que tout"
(Guy FINLEY)
Péricope Biblique
"Et toute la multitude se tut. Et ils écoutaient Barnabas et Paul qui racontaient quels miracles et quels prodiges Dieu avait faits par leur moyen parmi les nations"
(Ac 15, 12)
Alternance de bruit et de silence, d’agitation et de quiétude au rythme des saisons ? au rythme de la vie qui permet des temps de congés et des temps de travail, le tout ponctué par le début et la fin de la vie balnéaire ? Oui, bien normal, mais pourquoi si tôt ? Arrivant une fois de plus sur le bord de la mer Egée après ces zig-zag dus aux éléments naturels et aux fantaisies humaines, on s’attendrait à trouver, en ces deniers jours d’Août, de la vie, du bronzage, des sports nautiques … Mais si l’on évite la grande ville du coin, Alexandroupolis, car on en a un peu assez de la modernité avec plus de 38 kms parcourus sur une voie rapide sans aucune fantaisie et sans traversée de villages au cœur d’une région sauvage presque inhumaine (eh oui, y’a qu’une route !), et si l’on se prend de fantaisie d’atteindre une petite cité balnéaire qui présente bien sur Internet en se disant que cela sera bien sympa, on ne se trompe pas … Et on se trompe. Car c’est loin d’être désagréable, mais même ici, en cette fin Août, il n’y a aucune ambiance. La saison est définitivement enterrée … Au point que personne ou presque le soir aux terrasses (en dehors des moustiques dévastateurs, ce qui fait que le garçon de café, avant-même de vous amener le traditionnel verre d’eau, vous présente un flacon d’huile à la citronnelle – il paraît qu’à 22 heures pétantes, ils vont se coucher, quelqu’un peut m’expliquer ? –). Et surtout … tout est vide, les magasins, comme les plages, comme les rues d’ailleurs … Je me risque dans un hôtel aux couleurs des îles Cyclades, légèrement excentré. J’ai vraiment l’air de réveiller tout le monde ! et je serai seul de seul ce soir. A moi le bar, les deux piscines, la piste de danse … et la chambre-suite qui m’est finalement presque donnée par Nadia, petit bout de femme qui ne parle que le grec mais qui rigole dès qu‘on lui dit quelque chose !
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