Pensée Spirituelle
"Une fleur sur la plage que deux amants laissèrent au bord d'un beau rivage, ils firent leur rencontre.
Ils partagèrent tout, le plaisir, la douleur, ils avaient un atout : ils ignoraient le malheur.
Ils se jurèrent un jour de ne point se quitter : c'était une promesse qu'ils devaient s'acquitter.
Leur histoire d'amour fut fort incomparable, et leur très grand bravoure fut certes admirable.
Ils restèrent réunis, jusqu'à ce que soudain intervienne l'ennemi, l'ennemi des humains.
L'ennemi de la vie, prédateur de l'amour, ravisseur de nos vies, semblable à un vautour.
Il guette de loin, attend le bon moment : il attaque soudain, c'est le pire des tourments.
C'est la mort qu'il se nomme, pire cauchemar des hommes, tout habillé en noir, il dépasse nos pouvoirs.
Une fleur sur la plage, que deux amants laissèrent. Ils ne purent se revoir, les temps se succédèrent.
Cette fleur reste encore un signe de leur vie, un symbole de leur mort. Jamais elle ne ternit.
Une fleur sur la plage, que deux amants laissèrent, signe de leur passage ? Vérité ou mystère ?"
Ils partagèrent tout, le plaisir, la douleur, ils avaient un atout : ils ignoraient le malheur.
Ils se jurèrent un jour de ne point se quitter : c'était une promesse qu'ils devaient s'acquitter.
Leur histoire d'amour fut fort incomparable, et leur très grand bravoure fut certes admirable.
Ils restèrent réunis, jusqu'à ce que soudain intervienne l'ennemi, l'ennemi des humains.
L'ennemi de la vie, prédateur de l'amour, ravisseur de nos vies, semblable à un vautour.
Il guette de loin, attend le bon moment : il attaque soudain, c'est le pire des tourments.
C'est la mort qu'il se nomme, pire cauchemar des hommes, tout habillé en noir, il dépasse nos pouvoirs.
Une fleur sur la plage, que deux amants laissèrent. Ils ne purent se revoir, les temps se succédèrent.
Cette fleur reste encore un signe de leur vie, un symbole de leur mort. Jamais elle ne ternit.
Une fleur sur la plage, que deux amants laissèrent, signe de leur passage ? Vérité ou mystère ?"
(Ali El-Hage)
Péricope Biblique
"Jésus se trouvait sur la plage auprès du lac de Génésareth, et la foule se pressait autour de lui pour entendre la parole de Dieu"
(Lc 5, 1)
(Lc 5, 1)
Encore une belle journée ensoleillée, bon, mais c’est quand même la Grèce avec son soleil, ses oliviers et ses treilles, et même ses micro-chapelles sur le bord des routes. Grèce éternelle … redécouverte en cet « Eté grec » (selon le titre du best-seller de Jacques Lacarrière, à lire absolument : 7,50 € d’occasion sur Internet, j’ai regardé … et si vous le trouvez pas, aucune excuse, je vous le prête !). Sauf que maintenant, il y a en plus … cette voie rapide qui n’en finit pas, et ces gens qui veulent nous prendre en stop … Pour prendre un exemple – complètement – au hasard, on était tout près du but de l’étape, quand Johanna (elle se compare à notre sainte nationale) et son Ghergiu de copain (prénom grec à la mode, non ?) s’arrêtent et trouvent « anormal » que je perde autant d’eau !. Une durite est-elle cassée ? non, c’est l’eau gazeuse qui fait son effet … Alors, comme ils habitent tout près, ils me proposent de m’emmener à la plage. A la plage, quelle drôle d’idée, quand on est à l’intérieur des terres … Je finis donc les quelques deux kilomètres qui nous séparent de leur domicile estival, y dépose le sac, prends Amédée (très important à préciser), et nous voilà faisant une bonne distance vers la mer Egée, pour rejoindre leurs copains Diana (comme la déesse, pas comme la princesse, me dit Johanna) et Constantinos (comme l’empereur, me dit encore Johanna … Heureusement qu’on ne retrouve pas un car entier, j’aurais pas pu noter tout ce que dit Johanna !) … Et voilà le début, à 17 heures, d’une belle histoire maritime !
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