On a eu de la chance une fois de plus, à peine deux gouttes, même pas de quoi avoir à déclencher les essuie-glaces – c’est vrai qu’on n’en a pas – A la pause, j’ai quand même trouvé refuge dans le tronc d’un vieil olivier laissé là, super spacieux et plein de compagnie. C’est ça l’avantage de ne pas faire partie du monde des grands, on peut passer partout ! et puis ensuite l’accueil inattendu, les patates au beurre rance, les poivrons, le Raki, je sens que demain je vais me faire porter faible et que je vais faire la sieste dans le sac, pour une fois : allez, merci Billa !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Billa de Bar
Billa, je ne sais pas à quoi elle occupe ses journées. Bon d’accord, on est samedi, elle revient de la plage avec ses enfants, puis chez elle il y a plein de gens qui viennent, qui parlent, mangent et boivent. On se croirait dans le monde de l’Est ! elle a l’air d’avoir dans sa maison plein de chambres, dont pour des extérieurs, mais c’est tellement paumé que faut connaître. Mais quel accueil, elle a envie de parler. Et c’est là qu’une langue commune n’est pas obligatoire, on fait des merveilles avec des gestes et un peu d’imagination. Elle a le sens de l’accueil, Billa, et un talent culinaire à figurer dans le Gault et Millaud du coin. Et en plus cela se digère bien ! on reviendra, c’est promis, Billa ! :
"Dommage qu’on ne puisse pas échanger plus, mais dobro, dobro, dobro (merci, merci, merci) pour votre passage, bon voyage jusqu’à Jérusalem, moi qui ne suis jamais sortie de mon pays, cela me fait tout drôle … priez pour nous en chemin" (Billa – traduit par sa fille)
"Dommage qu’on ne puisse pas échanger plus, mais dobro, dobro, dobro (merci, merci, merci) pour votre passage, bon voyage jusqu’à Jérusalem, moi qui ne suis jamais sortie de mon pays, cela me fait tout drôle … priez pour nous en chemin" (Billa – traduit par sa fille)
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