Moi, ce que j’aime bien des monastères, c’est pas ce qui est clinquant, c’est que l’on y a toujours des réserves de nourriture et de boissons, n’ayons pas peur de le dire ! Bon, les chants, c’est beau, les textes en arabe, ça fait exotique mais on n’y comprend pas grand-chose, par contre la table, c’est toujours succulent : vous allez me trouver terre-à-terre, tant pis, les amis, ce qui compte, c’est comme disait ce matin Padre Paolo, le créateur et responsable du monastère de Mar Moussa, au petit-déjeuner avant de partir : « Prenez votre temps les amis, l’homme est fait pour manger et le manger est fait pour l’homme ! » Alors oui, on en a perdu, des kilos, depuis cinq mois, mais là, on est en train de les reprendre rapidement. Tant pis, ici, c’est si bon, en plus d’être si beau ! … Ben oui, vous l’avez compris, si à Mar Moussa j’ai apprécié la sobriété des lieux, j’aurais tendance, dans ma râlerie habituelle, à devenir devant tant de débauches d’ornements de certains monastères, l’ « Amédée-athée » … Par contre, à moi de planter le décor : devant tant de bonnes nourritures terrestres, je serai aussi « le Béage qui ne prend pas que du potage ». Et puis, moi, j’apprécierai d’être toujours avec les amis « un pilier des cuisiniers de l’amitié ». Alors merci à tous nos marmitons et nos marmitonnes, c’est grâce à vous … que nous tenons le coup ! et cela est particulièrement vrai chez les Baravi’s, merci à vous tous qui savez faire rimer « calories » avec « joyeuseries ! » Et parmi vous, toi le guide qui va prendre demain l’initiative de me faire savourer dans les souks le décor mais aussi six plats en quelques minutes, on te dit : merci Wissam !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Wissam de Damascus
Wissam, t’es le second de la fournée (pas de pain, non, mais des joyeux hôtes). T’es un peu comme ton frère Houssam, joyeux, heureux, serviable, prêt à me dérouler le tapis rouge, à me faire manger dix fois par jour et entre temps à me demander si j’ai encore faim, à me perfuser à coup de café turc à la cardamone pour changer un peu du chaï, à « m’intoxiquer » au Narguilé, à m’emmener me balader dans Damascus pour me faire découvrir les richesses artistiques mais aussi les boissons et les nourritures les plus inattendues, à te fatiguer plus que raison pour que je sois complètement heureux … Tu es passionné par tes études de droit, tu veux te lancer dans les affaires internationales, tu seras certainement le grand manitou des liens amicaux par-delà les frontières ! Comment pourrais-je t’offrir une petite compensation ? J’ai trouvé ! par exemple en te donnant des « cours de français », par exemple selon ma méthode « benoîtement Assimil-able », avec des phrases intéressantes telles que « le charcutier et la charcutière travaillent dans la charcuterie » (et là, vous pouvez faire des variantes avec les triplets « boulanger – boulangère – boulangerie » ou « boucher – bouchère – boucherie » ou même pourquoi pas « plombier – plombière (pas la glace, gros gourmand d’Amédée !) – plomberie …). Mais je vais te dire, Wissam, t’es trop bon avec moi, ne fatigue pas plus que cela et fonds-toi dans le décor, t’as ta place au paradis … des amis ! Et là, tu trouveras parfaitement ta place dans le décor … :
""Let’s sell our life to buy happiness, it is not good to sell and not to buy !” I wish you the best with your trip, and when we play Capoeira together, in can’t think I am playing with an old man, so never say “old man”, my friend : take care !" (Wissam)
("Laissons notre vie acheter du Bonheur, il n’est pas juste de seulement en vendre et de ne pas en acheter !" Je te souhaite tout le bonheur dans ton périple, et quand nous pratiquons ensemble le Capoeira, je ne peux vraiment pas dire que je le fais avec un vieil homme, alors ne dis plus que tu es un « vieil homme », mon ami : sois prudent !)
Wissam, t’es le second de la fournée (pas de pain, non, mais des joyeux hôtes). T’es un peu comme ton frère Houssam, joyeux, heureux, serviable, prêt à me dérouler le tapis rouge, à me faire manger dix fois par jour et entre temps à me demander si j’ai encore faim, à me perfuser à coup de café turc à la cardamone pour changer un peu du chaï, à « m’intoxiquer » au Narguilé, à m’emmener me balader dans Damascus pour me faire découvrir les richesses artistiques mais aussi les boissons et les nourritures les plus inattendues, à te fatiguer plus que raison pour que je sois complètement heureux … Tu es passionné par tes études de droit, tu veux te lancer dans les affaires internationales, tu seras certainement le grand manitou des liens amicaux par-delà les frontières ! Comment pourrais-je t’offrir une petite compensation ? J’ai trouvé ! par exemple en te donnant des « cours de français », par exemple selon ma méthode « benoîtement Assimil-able », avec des phrases intéressantes telles que « le charcutier et la charcutière travaillent dans la charcuterie » (et là, vous pouvez faire des variantes avec les triplets « boulanger – boulangère – boulangerie » ou « boucher – bouchère – boucherie » ou même pourquoi pas « plombier – plombière (pas la glace, gros gourmand d’Amédée !) – plomberie …). Mais je vais te dire, Wissam, t’es trop bon avec moi, ne fatigue pas plus que cela et fonds-toi dans le décor, t’as ta place au paradis … des amis ! Et là, tu trouveras parfaitement ta place dans le décor … :
""Let’s sell our life to buy happiness, it is not good to sell and not to buy !” I wish you the best with your trip, and when we play Capoeira together, in can’t think I am playing with an old man, so never say “old man”, my friend : take care !" (Wissam)
("Laissons notre vie acheter du Bonheur, il n’est pas juste de seulement en vendre et de ne pas en acheter !" Je te souhaite tout le bonheur dans ton périple, et quand nous pratiquons ensemble le Capoeira, je ne peux vraiment pas dire que je le fais avec un vieil homme, alors ne dis plus que tu es un « vieil homme », mon ami : sois prudent !)
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