Je vais encore passer pour un râleur, mais quelle idée d’être venu ici ? Dans cette vallée, il fait humide, c’est nul, je vais encore attraper un rhube de poitrine (Ben, il me dit que mon cerveau, il est aussi atteint par ce rhube …) ! Et cette pluie, c’est pas le moment qu’elle vienne, j’ai pas envie de finir noyé par la crue de la rivière. Dites, Dieu, ou Yahvé, ou Jeovah, ou Adonaï, ou Tétragramme, ou Allah, ou …, quel que soit le Nom que vous portiez, vous pourriez pas attendre un mois et demie que je sois revenu dans la mère-patrie avant de cracher votre venin, je ne suis pas Noé, que sais-je, je n’ai pas d’arche … Il est vrai qu’ici, il y a plein d’animaux, peut-être attendent-ils le déluge pour que le niveau des eaux monte de plus de cent mètres et que grâce à un radeau, il puissent regagner le plateau et la pleine liberté ? Ils sont bien sympas ces animaux, tous ces canards qui barbotent, un peu bruyants et agités peut-être ? Moi je préfère ma blanche colombe à qui je conte fleurette (bon d’accord, c’est plutôt un gris-pigeon, le suis-je moi-même, le pigeon de service, dans toute cette aventure ?). En tout cas, on a fait tous les deux un gros effort, pour la photo du jour, on n’a pas bougé d’un poil ! et nous, on sait se taire ! C’est pas tout-à-fait pareil pour nos jeunes argentines, quel tonus et quelle tchatche. Si on dit que les voyages forment la jeunesse, là, je ne le contredirai pas ! Loin de là de vous en vouloir, Anna et barbara, au contraire, vous avez bien fait de venir de votre lointain Buenos-Aires ! merci Anna et Barbara !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Anna et Barbara d' Acikuyu
Elles étaient paumées, crevées, perdues, découragées … Et il a suffi d’un poil (le revoilà) de bon samaritain de ma part (ça m’a pas coûté cher, on s’est – presque – partagés le prix de la chambre, c’est pas très catho tout ça), elles ont trouvé un abri de la pluie (qui n’a pas repris, Amédée il devrait positiver un peu plus) pour la nuit. Et puis, elles ont bien aimé ma bière, lol). Anna elle travaille depuis un an chez Philips, Barbara elle vient de finir ses études d’affaires internationales, décidément, la Turquie est sans frontières ! Et puis, du haut de leurs 26 ans, elles ont à elles-deux mon âge, comme cela (une des blagues de la soirée, Amédée qui veut pas dire par coquetterie l’âge qu’il a, du coup il s’est auto-exclu, le grand jaloux), dans la chambre, ce sera comme un(e) centenaire, moitié féminin – moitié masculin (allez, faites un petit effort pour comprendre cette énigme mathématique) ! Autre avantage : l’espagnol n’avait pas été parlé beaucoup depuis Bois-Guillaume, je l’avais un peu perdu suite à mon apprentissage de l’italien (au début je mettais trop de mots en espagnol). Et bien, justice est rendue, grâce à Assimil-Anna-Barabara, je retrouve un peu de mes vieux acquis (mais revers de la médaille, cette fois en mettant … trop d’italien). Et ces demoiselles, elles font des progrès radicaux en français … Du coup, dans ce sympathique caquetage, Ali, le serveur turc s’y met aussi, et ça devient … une volière, voire un poulailler (et du coup, Amédée, il fait sa tête de lard, il trouve qu’on le prend dans nos blagues à deux lires turques un peu trop pour la tête de turc du groupe, il n’apprécie pas nos plaisanteries, alors il s’en va rejoindre son volatile-pétrifié préféré … :
"Bravo a ti, Ben, bravo a ti Amédée, usted forma un grupo no triste, los dos : ¡ nosotros también, nos observan fácilmente, pero entonces usted ! ¡ ! Si no debíamos irnos de nuevo dentro de una semana, le acompañaríamos muy hasta el fin (¡ no muy difícil, usted casi acabó !); gracias por la cámara partida, nos reímos bien juntos : piensa en nosotros en Jerusalén, Ben ; y sé feliz, béage " a Amédée : ¡ ola, viva la paz, ola, viva el encuentro entre la gente y sus religiones, ola! ¡ Ola! ¡ Ola! ¡ !!" (Anna et Barbara)
(Bravo à toi, Ben, bravo à toi Amédée, vous formez un groupe pas triste, tous les deux. Nous aussi, on nous remarque facilement, mais alors vous !!! Si nous ne devions pas repartir dans une semaine, nous vous accompagnerions bien jusqu’au bout (pas très difficile, vous avez presque fini !). Merci pour la chambre partagée, on a bien rigolé ensemble. Pense à nous à Jérusalem, Ben ; et sois heureux, « béage » Amédée : ola, vive la paix, ola, vive la rencontre entre les gens et leurs religions, ola ! ola ! ola !!!)
Elles étaient paumées, crevées, perdues, découragées … Et il a suffi d’un poil (le revoilà) de bon samaritain de ma part (ça m’a pas coûté cher, on s’est – presque – partagés le prix de la chambre, c’est pas très catho tout ça), elles ont trouvé un abri de la pluie (qui n’a pas repris, Amédée il devrait positiver un peu plus) pour la nuit. Et puis, elles ont bien aimé ma bière, lol). Anna elle travaille depuis un an chez Philips, Barbara elle vient de finir ses études d’affaires internationales, décidément, la Turquie est sans frontières ! Et puis, du haut de leurs 26 ans, elles ont à elles-deux mon âge, comme cela (une des blagues de la soirée, Amédée qui veut pas dire par coquetterie l’âge qu’il a, du coup il s’est auto-exclu, le grand jaloux), dans la chambre, ce sera comme un(e) centenaire, moitié féminin – moitié masculin (allez, faites un petit effort pour comprendre cette énigme mathématique) ! Autre avantage : l’espagnol n’avait pas été parlé beaucoup depuis Bois-Guillaume, je l’avais un peu perdu suite à mon apprentissage de l’italien (au début je mettais trop de mots en espagnol). Et bien, justice est rendue, grâce à Assimil-Anna-Barabara, je retrouve un peu de mes vieux acquis (mais revers de la médaille, cette fois en mettant … trop d’italien). Et ces demoiselles, elles font des progrès radicaux en français … Du coup, dans ce sympathique caquetage, Ali, le serveur turc s’y met aussi, et ça devient … une volière, voire un poulailler (et du coup, Amédée, il fait sa tête de lard, il trouve qu’on le prend dans nos blagues à deux lires turques un peu trop pour la tête de turc du groupe, il n’apprécie pas nos plaisanteries, alors il s’en va rejoindre son volatile-pétrifié préféré … :
"Bravo a ti, Ben, bravo a ti Amédée, usted forma un grupo no triste, los dos : ¡ nosotros también, nos observan fácilmente, pero entonces usted ! ¡ ! Si no debíamos irnos de nuevo dentro de una semana, le acompañaríamos muy hasta el fin (¡ no muy difícil, usted casi acabó !); gracias por la cámara partida, nos reímos bien juntos : piensa en nosotros en Jerusalén, Ben ; y sé feliz, béage " a Amédée : ¡ ola, viva la paz, ola, viva el encuentro entre la gente y sus religiones, ola! ¡ Ola! ¡ Ola! ¡ !!" (Anna et Barbara)
(Bravo à toi, Ben, bravo à toi Amédée, vous formez un groupe pas triste, tous les deux. Nous aussi, on nous remarque facilement, mais alors vous !!! Si nous ne devions pas repartir dans une semaine, nous vous accompagnerions bien jusqu’au bout (pas très difficile, vous avez presque fini !). Merci pour la chambre partagée, on a bien rigolé ensemble. Pense à nous à Jérusalem, Ben ; et sois heureux, « béage » Amédée : ola, vive la paix, ola, vive la rencontre entre les gens et leurs religions, ola ! ola ! ola !!!)
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