On a retrouvé la mer ! Bon, on ne l’avait pas perdu depuis longtemps ! On a retrouvé le bon air ! Bon, il était pas si irrespirable que cela, dans la mégapole ! Allez, ça y est, on est dans les villes à taille humaine, et même que de ce côté-là, on se dit qu’on a le temps. Le temps de poser, de s’assoir à une terrasse de café, face ou dos à la mer, et de reprendre sa petite bière en « prenant le soleil » des fois qu’on en est pas eu assez dans la journée (il fait quel temps en Normandie ?, na !), le temps de discuter. Ca me rappelle la rencontre avec Alexandre , on s’est couchés bien après que les étoiles apparaissent ! et même moi j’ai pu tout suivre : Merci Alexandre !
Ils / Elles m'ont fait l'immense plaisir de m'accueillir le temps d'une nuitée :
Alexandre de Muallim
Chez Eva et Ilker, j’ai rencontré Alexandre … Ils m’en ont fait la surprise ! Alexandre, il est français, il est prof à l’éducation nationale, il a fait sa « coopé » (on disait VSNA) comme moi à la place du service militaire, mais en Asie, il y est resté trois ans, et quand il est alors rentré en France, nommé dans un petit collège perdu, il a eu du mal … Alors il a été détaché du « Mammouth », et est reparti, cette fois-ci en Turquie. C’était il y a dix ans. Il a enseigné à Ankara, et le voilà maintenant directeur d’un des Lycées « Français d’Istanbul » (enfin, sous le contrôle du ministère turc ), réputés comme tous les établissements occidentaux datant d’il y a plus de deux siècles et qui ont été heureusement conservés lors de la création de l’Etat turc. Pas mal, non ! Donc Alexandre, il a pas mal roulé sa bosse ! Et en plus, il est ami des maîtres, non pas d’école mais de maison ! Et avec lui aussi, on passe de super soirées : discussions autour de tout, lui et ses passions (dont le théâtre, il a mené une coopération entre son lycée d’Istanbul et un lycée de Fécamp !), moi et les miennes ! Et on a eu plein de choses à se dire. Alors peut-être bien qu’on se reverra ! d’autant plus avec ce qu’Alexandre écrit si bien (sauf qu’il ferait bien de se glorifier un peu, lui-aussi !) :
"Ce qui est beau dans les rencontres, c’est qu’elles vous tendent toujours le miroir de votre expérience personnelle et qu’elles vous interrogent sur le sens de votre vie. Discuter avec toi, Benoît, qui interroge, dont la curiosité toujours en éveil pose les bonnes questions, est à la fois un plaisir et une petite révolution ! J’admire ta démarche, ton courage et ta force, et je m’interroge. «Que fais-je, moi, d’aussi beau que cela ?" (Alexandre)
Chez Eva et Ilker, j’ai rencontré Alexandre … Ils m’en ont fait la surprise ! Alexandre, il est français, il est prof à l’éducation nationale, il a fait sa « coopé » (on disait VSNA) comme moi à la place du service militaire, mais en Asie, il y est resté trois ans, et quand il est alors rentré en France, nommé dans un petit collège perdu, il a eu du mal … Alors il a été détaché du « Mammouth », et est reparti, cette fois-ci en Turquie. C’était il y a dix ans. Il a enseigné à Ankara, et le voilà maintenant directeur d’un des Lycées « Français d’Istanbul » (enfin, sous le contrôle du ministère turc ), réputés comme tous les établissements occidentaux datant d’il y a plus de deux siècles et qui ont été heureusement conservés lors de la création de l’Etat turc. Pas mal, non ! Donc Alexandre, il a pas mal roulé sa bosse ! Et en plus, il est ami des maîtres, non pas d’école mais de maison ! Et avec lui aussi, on passe de super soirées : discussions autour de tout, lui et ses passions (dont le théâtre, il a mené une coopération entre son lycée d’Istanbul et un lycée de Fécamp !), moi et les miennes ! Et on a eu plein de choses à se dire. Alors peut-être bien qu’on se reverra ! d’autant plus avec ce qu’Alexandre écrit si bien (sauf qu’il ferait bien de se glorifier un peu, lui-aussi !) :
"Ce qui est beau dans les rencontres, c’est qu’elles vous tendent toujours le miroir de votre expérience personnelle et qu’elles vous interrogent sur le sens de votre vie. Discuter avec toi, Benoît, qui interroge, dont la curiosité toujours en éveil pose les bonnes questions, est à la fois un plaisir et une petite révolution ! J’admire ta démarche, ton courage et ta force, et je m’interroge. «Que fais-je, moi, d’aussi beau que cela ?" (Alexandre)
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